Présentation

Résumé du projet

L’éducation est société et, en même temps, la société est éducatrice. Ce travail analyse le conflit palestino-israélien à partir du rôle l’éducation: comment la peur a été implantée aux vies des enfants. Le résultat est la protection dans un côté du mur et l’oppression dans l’autre.

Du côté israélien, le parcours d’un enfant est l’éducation obligatoire pendant douze ans et le service obligatoire à l’armée. Ensuite, il peut continuer ses études supérieures. Ces pages montrent comment la protection est inculquée dès l’enseignement préscolaire. Le résultat de cette protection est l’armée israélienne, l’axe de cette société. Les refuznik sont les objecteurs de conscience qui rejettent cette structure. Leur punition pour ne pas servir à la nation est la prison.

Du côté palestinien, bien que l’éducation soit obligatoire pendant dix ans, la réalité au moment de poursuivre les études est tout à fait différente: des contrôles aux checkpoints, un mur qui fait environ huit mètres, des détentions administratives et des camps de réfugiés. Le résultat de cette oppression est la prison.

Les conclusions du travail sont possibles solutions sur le terrain par le biais de l’éducation mixte entre juifs et arabes ainsi que la démilitarisation à travers d’organisations des droits de l’Homme. À niveau international, le boycott. Le boycott contre un conflit que, malgré la pluralité de religions et de réalités, il peut se définir par un seul concept : apartheid.

Mots clé : peur, éducation, société, armée, refuznik, prison, check point, camp de réfugiés, école mixte, boycott.

Pour télécharger une ébauche plus détaillée, allez à la rubrique « Généralités ». 
Pour télécharger le travail complet, allez à la rubrique «Travail final ».

Auteur: Judith Jordà Frias – Date d’actualisation: 14/04/2015